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Aussi délicieuse que soit la cuisine française, une autre question délicate, surtout pour les Italiens, est de savoir où faire ses courses à Paris.

En bref, chacun a ses propres habitudes en matière de petit-déjeuner, de déjeuner et de dîner. Bien sûr, vous devez absolument goûter au célèbre petit-déjeuner français, qui consiste généralement à boire du café, du thé, du jus d’orange ou du jus de fruits et à manger du pain, du beurre et de la confiture, des croissants ou des pains au chocolat.

Mais si vous cherchez d’autres aliments, vous trouverez également de quoi préparer vos propres repas chez FRANPRIX, la chaîne la plus populaire de Paris. Très pratique justement parce qu’on la trouve un peu partout, avec une vaste offre de produits différents et des prix intéressants.

D’autres chaînes que vous pouvez trouver sans problème sont Carrefour, très similaire à celle de l’Italie, et plusieurs LIDL qui ont un rayon boulangerie et pâtisserie qui est généralement très bien approvisionné.

Dans les supermarchés français, vous trouverez facilement de nombreux produits italiens, ou même des snacks, des sandwichs ou des sandwichs avec toutes sortes de garnitures. Ainsi que des produits internationaux qui peuvent être cuisinés rapidement, même au micro-ondes.

En ce qui concerne les plats préparés, il est incroyable de constater la quantité de produits que l’on trouve dans les supermarchés parisiens : des lasagnes aux spaghettis en passant par le filet de bœuf. Nous ne pouvons évidemment pas en garantir la qualité, mais si vous cherchez quelque chose à manger rapidement, même en compagnie de vos colocataires, le choix est vaste.

Si vous n’avez pas le temps ou l’envie de cuisiner, vous pouvez aussi vous tourner vers les fast-foods que l’on trouve pratiquement à tous les coins de rue à Paris.

Parmi les nombreux événements qu’offre la ville, les festivités parisiennes constituent un motif supplémentaire d’animation et de divertissement.

Comme en Italie, le calendrier parisien est ponctué de fêtes civiles, religieuses, commémoratives et sociales. Bien entendu, à Noël, l’une des fêtes les plus importantes, les rues de la ville sont encore plus remplies de lumières et de décorations. Tout au long de la période, des marchés et des stands sont installés, ainsi que des patinoires et des manèges.

Une belle coutume française de l’Épiphanie est le partage de la galette des rois. Des parts de gâteau sont distribuées, une à chaque membre de la famille, une fève est cachée dans l’une d’entre elles et celui ou celle qui la trouve devient le roi ou la reine de la journée.

Le 2 février est la fête religieuse de la Chandeleur, le jour où les croyants célèbrent la purification de Marie. La tradition veut que l’on fasse des crêpes maison.

Le carnaval est également une fête très importante, avec des défilés masqués et des processions, comme en Italie. Vingt-et-un jours après le mardi gras, on célèbre le jeudi de la mi-carême, appelé la fête des lavandières, une tradition féminine qui remonte au Moyen-Âge.

Les festivités suivent à peu près celles de l’Italie, avec l’ajout du 8 mai, jour des Alliés contre la dictature nazie, et de la Pentecôte.

La fête nationale du 14 juillet, jour de la prise de la Bastille, est une célébration de la tradition et de l’histoire françaises. À cette occasion, les Champs-Élysées sont fermés à la circulation pour laisser place à un grand défilé.

La mode à Paris

La mode française est une mine d’or qui, au fil des siècles, a produit des exemples précieux qui ont changé le cours de l’histoire. Nous découvrons quelques-uns des créateurs qui ont marqué l’histoire de la mode française, de l’invention du prêt-à-porter à nos jours.

Saint Laurent
Fondée en 1961 à Paris, Yves Saint Laurent est la première maison de couture à lancer le concept de prêt-à-porter de luxe en 1966 avec la création de la ligne « Saint Laurent Rive Gauche », synonyme de jeunesse et de liberté. Le mythe et l’esthétique Saint Laurent sont plus vivants que jamais. Ils réapparaissent ponctuellement chaque saison sur les podiums de la maison, sans jamais cesser de surprendre, directement issus de ces archives extraordinaires constituées avec passion en 40 ans de carrière et aujourd’hui célébrées par deux musées Yves Saint Laurent à Paris et à Marrakech. Deux villes emblématiques unies par la vision d’un artiste.

Givenchy
Givenchy est une maison française de haute couture et de prêt-à-porter, créée en 1952 par Hubert de Givenchy. Au cours de l’été 1953, le créateur rencontre Audrey Hepburn, qui lui emprunte plusieurs looks pour le film « Sabrina ». C’est le début d’une longue collaboration et d’une profonde amitié entre l’actrice et le créateur qui marquera également le début des collaborations entre le cinéma et la mode. Depuis sa création, Givenchy est synonyme d’élégance avant-gardiste, entre tradition et modernité, capable de briser les codes de la mode et de marquer l’histoire.

Chloé
L’une des plus jeunes marques françaises ayant marqué l’histoire, Chloé a été fondée en 1952 par Gaby Aghion, une Parisienne d’origine égyptienne, une femme à la beauté énigmatique et à l’esprit bohème. Rejetant la formalité rigide de la haute couture, elle crée la première collection de prêt-à-porter de luxe. Le succès de la maison de couture se poursuit lorsque la ligne romantique, décontractée et glamour créée par Gaby Aghion pour Chloé incarne les aspirations des jeunes femmes des années 1960, et ainsi de suite dans une longue cavalcade qui ne s’est jamais arrêtée jusqu’à aujourd’hui.

La mode est un élément important du paysage économique et culturel français. Pour bien comprendre son importance, il faut d’abord comprendre la véritable nature du produit de mode. Pour moi, le produit de mode présente quatre caractéristiques : il a une dimension esthétique et artistique, il est souvent associé à un créateur et à une marque, il se caractérise par des cycles courts et un renouvellement rapide, il se positionne sur la tendance du moment et peut parfois définir les tendances futures.

Ces différents aspects renvoient aux propos de Charles Baudelaire sur la modernité, qu’il considérait comme « fugitive, transitoire, accidentelle, moitié de l’art, dont l’autre moitié est éternelle et immuable ». La mode est un élément de la modernité qui réunit à la fois la créativité du créateur et les aspirations du consommateur. Pour chacun d’entre nous, la mode représente le « ici et maintenant », tout en portant en elle les traditions de notre passé et en définissant notre avenir.

La mode fait partie intégrante de notre économie et de notre société. L’activité principale de la mode est de choisir des vêtements et des accessoires, de porter des objets qui reflètent l’identité que l’on veut projeter et les états d’âme qui nous habitent. La mode oscille toujours entre l’expression personnelle et les tendances collectives et de groupe.
Ainsi, l’économie de la mode, au sens strict, désigne les secteurs économiques de nos environnements personnels : les activités de création, de production et de distribution de vêtements, d’accessoires de mode (chaussures, maroquinerie, etc.), de parfums et de cosmétiques. L’ensemble de ces activités représente 1,7 % du PIB français ; 2,7 % si l’on inclut l’emploi, notamment celui lié aux services, et son effet sur les industries auxiliaires, qui représentent au total 1 million d’emplois. De manière surprenante, ce chiffre est supérieur à la valeur combinée de l’automobile et de l’aéronautique.

Mais toutes les grandes marques françaises, comme les nombreux jeunes labels, sont guidées par la créativité plutôt que par les consommateurs. Cela ne signifie pas qu’elles méconnaissent les consommateurs et leurs clients, mais plutôt qu’elles donnent à leurs créateurs la liberté d’exprimer leur talent artistique. Cette approche s’inscrit dans la continuité de la tradition française, issue de l’humanisme et du baroque, où la sensibilité à l’œuvre d’art et à l’objet prime sur son utilité directe. Les marques affirment leur imagination, exploitent la vigueur créative et transmettent une émotion qui trouvera un écho auprès des consommateurs et résistera à l’épreuve du temps.

Histoire de la médecine à Paris

La Révolution française marque également un tournant dans l’histoire de la médecine : avec elle, la maladie devient un problème public et, au nom du progrès, cesse d’être l’affaire du seul malade.

En 1792, pendant plusieurs mois, l’Assemblée nationale de Paris débat de la manière de remplacer les médecins qui soignent les malades par une bureaucratie thérapeutique, tentant d’administrer un mal appelé à disparaître avec l’avènement de l’égalité, de la liberté et de la fraternité.

Du point de vue des hommes qui ont conduit les réformes à l’époque de la Révolution, notamment les réformes hospitalières et universitaires, le service national de santé aurait eu pour mission de veiller à la santé et de promouvoir des lois et règlements diététiques obligeant les citoyens à utiliser leurs libertés conquises pour une vie de frugalité et de plaisirs sains.
Des fonctionnaires de santé veillent au respect de ces règles par les citoyens et des tribunaux de santé spéciaux, sous le contrôle de magistrats médicaux, éliminent les médecins charlatans et profiteurs.

Les hôpitaux doivent être spécialisés : pour les vieillards, les incurables, les fous, les enfants abandonnés.

Grâce à des personnalités comme Cabanis, qui a eu l’intuition d’introduire le dossier médical, aux innovations introduites par la Commission de surveillance des hôpitaux parisiens dirigée par Tenon, à l’introduction de matières novatrices comme la « police médicale » à l’université, la Révolution a permis la formation d’une nouvelle classe de médecins, également d’extraction sociale bourgeoise, qui a profondément marqué l’approche future de la médecine au 19e siècle.

Et la chirurgie esthétique ?

Cette chirurgie esthétique on en parle à Paris. C’est une chirurgie qui vise à rajeunir les paupières. Bien que la grande majorité des interventions de blépharoplastie soient réalisées pour des raisons esthétiques, elles sont parfois pratiquées pour corriger un excès de peau ou de graisse des paupières qui gêne la vision chez certains patients.

Les 7 questions les plus fréquentes sur la blépharoplastie
Cette intervention est principalement indiquée pour les patients présentant des paupières tombantes ou des poches.

Nous sommes conscients qu’une intervention telle que la blépharoplastie peut susciter des doutes chez les personnes à qui elle a été recommandée. C’est pourquoi un docteur répond aux questions les plus fréquemment posées sur cette intervention :

  • Quels sont les professionnels qui pratiquent ce type d’intervention ?
  • Les chirurgiens oculoplastiques sont des ophtalmologues ayant reçu une formation spéciale en chirurgie des paupières, des voies lacrymales et de l’orbite. Ils savent en outre évaluer l’état de l’œil, indiquer l’intervention dont chaque personne a besoin et, surtout, réagir correctement à tout type de complication au cours de l’opération.
  • En quoi consiste une blépharoplastie ?
  • La première étape consiste à réaliser un bilan de la surface oculaire du patient afin de vérifier qu’il n’existe pas de pathologies antérieures pouvant gêner ou contre-indiquer la blépharoplastie. En outre, il est important de procéder à une évaluation générale de l’état de santé du patient afin d’exclure la présence d’autres pathologies. Le jour de l’intervention, des marques sont faites sur le pli de la paupière et le patient est mis sous sédation afin que, sans être endormi, il soit calme et non nerveux.
    Pendant l’opération, une anesthésie est injectée sous la peau et une incision est pratiquée dans le pli de la paupière pour retirer l’excès de tissu.
  • Quelles sont les suites opératoires d’une blépharoplastie et sont-elles rapides ?
  • Pendant la période postopératoire, il est recommandé d’appliquer du froid sur la zone pendant les premiers jours et de traiter la plaie.
    Environ une semaine après l’intervention, les points de suture sont retirés et, au bout d’une ou deux semaines, le patient ne remarque plus qu’il a été opéré et peut reprendre une vie normale. Toutefois, le résultat final de la blépharoplastie n’est pas visible avant au moins 6 mois.
  • La blépharoplastie peut-elle être pratiquée sur tous les patients ?
  • Cette intervention n’est pas recommandée pour les patients présentant des troubles de la coagulation ou d’autres maladies graves.
    D’autre part, il est nécessaire de procéder à un examen ophtalmologique avant l’opération afin d’exclure des problèmes de surface oculaire ou de sécheresse de l’œil qui pourraient entraîner des complications pendant l’opération.
  • Existe-t-il des traitements complémentaires à la blépharoplastie ?
  • Dans de nombreux cas, il est recommandé d’associer à la blépharoplastie des traitements à la toxine botulique ou à l’acide hyaluronique pour améliorer les petites rides ou corriger de petits détails esthétiques.
  • Y a-t-il une cicatrice ?
  • Les chirurgiens oculoplastiques s’efforcent toujours de dissimuler au maximum les cicatrices. Normalement, après l’opération, il y a une petite cicatrice dans le pli de la paupière qui n’est plus détectable après quelques mois. Ces petites marques peuvent également être dissimulées en suivant une série de traitements à base de crèmes.
  • Comment se débarrasser des poches ?
  • On croit à tort que les poches sont remplies d’un liquide que l’on peut retirer à l’aide d’une seringue. Les poches sont des tissus graisseux formés par l’usure des coussins qui enveloppent et amortissent l’œil à l’intérieur de l’orbite. Au fil des ans, chez certaines personnes génétiquement prédisposées, les cloisons qui séparent ces coussins s’affaiblissent et forment ces poches.
    Cette intervention consiste à ouvrir les poches, en particulier au niveau de la paupière inférieure, où elles ont tendance à apparaître le plus souvent. Une fois ouvert, le tissu graisseux est coupé et cautérisé, puis, selon les cas, des techniques de renforcement des cloisons sont utilisées.

Petite histoire de Paris

Paris a été fondée à la fin du IIIe siècle avant J.-C. par une tribu de Gaulois (population d’origine celtique). En 52 av. J.-C., Jules César fait passer le territoire aux mains des Romains, mettant fin à des siècles de conflit entre Gaulois et Romains. La domination romaine prend fin au Ve siècle avec la conquête des Francs et, en 508, le roi franc Clovis Ier établit la capitale du royaume à Paris. Le Moyen Âge est une période de grande richesse et de prospérité pour la ville, avec la construction d’ouvrages impressionnants comme Notre-Dame et le Louvre.
Au IXe siècle, les Vikings envahissent la côte ouest de la France et, après trois siècles de guerre, pénètrent dans Paris, ce qui marque le début de la guerre de Cent Ans entre l’Angleterre normande et la dynastie capétienne de Paris. Le conflit s’est terminé par la défaite des Français à Agincourt en 1415 et la domination anglaise sur Paris en 1420. Mais en 1429, une jeune fille, entrée dans l’histoire sous le nom de Jeanne d’Arc, réunit les troupes françaises et bat les Anglais à Orléans.

Au XVIe siècle, Paris doit faire face à de nombreuses difficultés au nom de la religion, avec des affrontements entre les huguenots (protestants français soutenus par l’Angleterre), les catholiques et la monarchie. Louis XIV, le Roi Soleil, monte sur le trône en 1643 et reste au pouvoir jusqu’en 1715. Le souverain, en raison de rébellions internes et d’un gaspillage considérable d’argent dans la construction d’édifices grandioses, conduit la ville à la faillite. Ses successeurs Louis XV et Louis XVI n’améliorent pas les choses et les excès de ce dernier conduisent, le 14 juillet 1789, à la révolte des Parisiens et à la fameuse « prise de la Bastille », événement à l’origine de la Révolution française.
Après la révolution, l’État est repris par Napoléon Bonaparte qui, en 1804, est couronné empereur des Français par le pape, et Napoléon mène le royaume de France à la conquête d’une grande partie de l’Europe. Mais cette soif de conquête l’a conduit à la défaite, d’abord en Russie en 1812, puis à Waterloo, en Belgique, en 1815.

Après Napoléon, la France a connu une période difficile jusqu’à ce qu’un coup d’État en 1851 amène au pouvoir Napoléon III qui, en 17 ans, a rénové et rendu la ville majestueuse avec la construction de grands boulevards et de parcs.
Après la Première Guerre mondiale, dans les années 1920 et 1930, Paris est devenu un centre artistique mondial.
En 1940, les Français subissent de plein fouet l’invasion des nazis, qui occupent Paris jusqu’au 25 août 1944.
À la fin de la guerre, Paris retrouve son rôle de promoteur de l’innovation, qui perdure encore aujourd’hui.